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Un juge argentin émet des mandats d’arrêts contre quatre personnes liées à l’attentat à la bombe dans un centre juif à Buenos Aires en 1994

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un juge argentin émet des mandats d’arrêts contre quatre personnes liées à l’attentat à la bombe dans un centre juif à Buenos Aires en 1994

Atentado_AMIA-640x400-1024x640[1]Un juge fédéral argentin a demandé à Interpol d’arrêter quatre hommes libanais soupçonnés d’être liés à l’attentat à la voiture piégée qui a tué 85 personnes au centre communautaire juif Amia de Buenos Aires le 18 juillet 1994.

Les mandats ont été délivrés par le juge Daniel Rafecas, qui a envoyé en octobre dernier une ordonnance d’arrestation d’un responsable iranien présumé impliqué dans l’attaque.

Selon les informations de l’agence de presse américaine Associated Press, Daniel Rafecas a déclaré lors d’une résolution du 13 juin « qu’en ce qui concerne ces individus, il existe des soupçons fondés selon lesquels ils sont des collaborateurs ou des agents opérationnels de la branche armée du Hezbollah ».

Les quatre hommes ne seraient pas directement responsables de l’attentat, mais auraient aidé à l’entrée des terroristes dans le pays.

Le 18 juillet 1994, une attaque à la voiture piégée contre un bâtiment abritant plusieurs organisations juives, dont l’Association mutuelle israélite argentine (Amia)  tue 85 personnes et fait 230 blessés. L’attentat n’a jamais été revendiqué.

Personne n’a été inculpé dans l’affaire. Les tribunaux argentins et d’autres pensent que l’Iran est derrière l’attaque, mais la République islamique nie toute implication.

Eliran COHEN pour Israel Actualités

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