Un journaliste italien, qui jusqu’à mardi était dans la bande de Gaza et affirmait qu’Israël avait tiré sur l’hôpital Shifa et l’école du village de Shati, viens d’avouer la réalité une fois sorti de l’enclave terroriste.
Au moins 10 personnes ont été tuées dans l’attaque – la plupart des enfants – et certaines sources ont affirmé que le nombre de décès dépassait les 30 palestiniens. Israël a été blamé pour ça, bien que l’armée ait montré qu’elle n’était pas responsable de ces tirs de missiles. De fait, ces tirs ont été effectués par des palestiniens et les roquettes se sont écrasées directement dans Gaza. C’est d’ailleurs le cas pour 200 autres missiles lancés depuis Gaza sur Israël depuis 3 semaines.
Gaza est un endroit compliqué pour les journalistes, tellement qu’ils préfèrent mentir que mourir sur les balles du Hamas.
Ainsi, Gabriele Barbarti, en sortant de Gaza, vient de publier un message sur twitter:
Hors de Gaza et loin des représailles du Hamas: ce sont eux les responsables de la roquette qui a tué des enfants hier à Shati. Les témoins ont vus leurs militants aller ramasser les débris:
ou encore
Le porte parole de l’armée à dit la vérité dans le communiqué publié hier sur le massacre de Shati. Ce n’était pas Israël derrière l’attaque.
Au cours des 23 jours de l’opération Bordure Protectrice, seule une poignée de journalistes a défié, délibérément ou par inadvertance, les restrictions du Hamas… Même Libération l’a fait pendant un temps décrivant l’horreur de l’influence du Hamas sur les journalistes… mais le Hamas à fait se censurer Libération !
De nombreux journalistes étrangers ont également admis avoir interviewé les dirigeants du Hamas à l’intérieur de l’hôpital, mais leurs articles sont remarquables pour le manque d’importance accordé à une telle violation du droit international (surtout que le Hamas utilise les étages blindés des hôpitaux pour ces conférences de presse, au lieu de laisser ces endroits aux patients).
Dans un autre cas, un journaliste du Wall Street Journal a tweeté une preuve d’un tir raté du Hamas qui a touché l’hôpital de Gaza… Mais très vite, le tweet a été supprimé (pour des questions de sécurité du journaliste):
L’utilisation de boucliers humains par les groupes terroristes de Gaza durant le conflit actuel a été maintes fois documenté. Le Hamas et le Jihad islamique ont stocké et tiré des roquettes à partir de zones civiles densément peuplées, ce qui rend les tentatives israéliennes de les arrêter sans causer de dommages collatéraux presque impossible. Pour compliquer le problème, le Hamas a ouvertement encouragé les civils à agir comme boucliers humains, en glorifiant leurs actions.
Les terroristes ont également utilisé les hôpitaux et les écoles comme centres de commandement et bases militaires.
Mardi, les travailleurs de l’Agence de secours (UNRWA) ont admis qu’ils avaient découverts roquettes stockées dans une de ses écoles pour la troisième fois.
Par Ariel Melles – JSSNews