Traduction, Israël doit être détruit, ce n’est même plus une 5ème colonne ce sont des génocidaires possédant la citoyenneté israélienne. Les palestiniens eux ne se cachent même plus mais sont toujours financés par l’UE, les Américains (qui fricotent avec les mollah) et certains pays arabes – Résultat une 2ème Shoah est programmée
Image à la Une : Quelques députés de la Liste arabe unie
Par Tsvi Sadan
Sur les 8 millions de citoyens de l’Etat juif, 1,2 millions de musulmans profitent pleinement des avantages de la démocratie dans laquelle ils vivent, y compris du droit de diffamer publiquement Israël comme un État raciste et même de contester son existence.
Ayman Odeh, chef de la nouvelle liste arabe unie en cours d’exécution pour les prochaines élections à la Knesset, a annoncé récemment que « notre ennemi direct est le sionisme » ce qui signifie tout simplement qu’Israël doit cesser d’exister en tant qu’Etat juif.
Si la Cour suprême israélienne ne fait rien pour arrêter l’objectif déclaré de ce parti – démanteler Israël, le fait demeure qu’Israël a été reconnu comme un État juif par la communauté internationale. La Résolution de San Remo de 1920 a confirmé «qu’en vertu de la Déclaration Balfour, le gouvernement britannique avait entrepris de favoriser la création d’un foyer national juif en Palestine, sans préjudice des droits civils et religieux des communautés non-juives existantes.»
Cette résolution a été réaffirmé en mai 1947 par les Nations Unies résolution 181, qui «impose la partition de la Palestine sous mandat britannique en un État juif et un Etat arabe.»
La déclaration d’indépendance de l’état d’Israël en mai 1948, rédigée avec ces résolutions antérieures à l’esprit, affirme tout d’abord l’évidence que «la terre d’Israël [Palestine] a été le berceau du peuple juif,» et poursuit en disant que «cette reconnaissance par les Nations Unies, du droit du peuple juif à établir son état est irrévocable. Ce droit est le droit naturel du peuple juif à être maître de son destin, comme toutes les autres nations, dans leur propre État souverain.»
La communauté internationale, à l’exception des ennemis d’Israël, a accepté le droit historique des Juifs de vivre sur leurs terres, mais avec des réserves concernant les frontières actuelles, étant donné qu’elles ont été établies le long des lignes d’armistice. Pour sa part, Israël essaie, tant en théorie qu’en pratique, de garantir les droits de ses minorités.
En revanche, le dirigeant palestinien Mahmoud Abbas lors de la dernière convention de l’OLP le 3 mars a répété son engagement à deux principes sans compromis: Oui à une Palestine «Judenrein» et non à un Etat juif.
Selon le dirigeant palestinien, si il y a la paix dans cette région les Juifs ne sauraient être autoriser à vivre dans un futur Etat palestinien et Israël ne devrait pas continuer d’exister comme un État juif. Et pourtant, c’est Israël qui est étiqueté comme raciste, malgré le fait que les Arabes israéliens jouissent de droits pleins et équitables.
Bien que les fausses accusations de racisme font que beaucoup d’Israéliens se joignent au chœur des « viva Palestina » dans une vaine tentative d’apaisement, il n’en est pas moins que certains refusent d’éteindre les lumières.
Le controversé, ministre des affaires étrangères Avigdor Lieberman a raison quand il dit que la liste du nouveau parti United Arab, qui partage la vision d’Abbas et bénéficie également maintenant de sa bénédiction, expose un nouveau plan palestinien pour « faire exploser Israël de l’intérieur ».
Si habilement, cette nouvelle faction arabe qui partage le rêve d’Abbas d’une Palestine Judenrein, joue la carte du racisme, Lieberman avertit que ce parti « nous prépare une intifada à l’intérieur d’Israël.»
Malheureusement, on dira qu’avec l’expérience du passé, seuls quelques-uns prendront cet avertissement au sérieux.
Adapté par malaassot source israeltoday