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Plus de 60 % des israéliens pensent que la conversion au judaïsme est « trop difficile »

Un sondage de l’Institut Itim, une association qui aide ceux qui cherchent à se convertir au judaïsme, montre que 86% des israéliens déclarent qu’il est “important ou très important pour eux que leurs enfants se marient avec un conjoint juif”. Le pourcentage monte à 99% dans la population Haredi, 96% chez les traditionalistes et 75% chez les laïcs.

60,3% de la population israélienne a estimé que le processus de conversion au judaïsme en Israël est trop difficile et devrait être facilité. Seulement 25,4% des religieux et ultra-orthodoxe déclarent que le processus est trop difficile. Parmi les Juifs traditionnels, ils sont 50,7% a partager cette opinion et parmi les Juifs laïcs, ils sont 80,5%. 51,9% des personnes entre 18 et 24 ans estimaient que le processus est trop difficile alors qu’ils sont 71,5% chez les personnes âgées de 55 ans et plus. (Source Koide9enisrael)
La conversion au judaïsme représente l’adoption des rites et croyances juives, et l’abandon de ses propres usages religieux. Elle implique aussi, au-delà de la religion, le fait de se considérer comme partie intégrante du peuple juif.

La conversion dans le judaïsme se dit guiyour, en hébreu ; le converti est un guér ou guiyor ; pour le différencier de l’étranger on le nomme guér tséddéq (guérim au pluriel) ; au féminin guiyoréte et guiyorote au féminin pluriel. On dit léitgayér à l’infinitif. Le mot guér vient de la racine gour qui veut dire “habiter”. Et le guér est, au sens restreint, celui qui vient habiter sur une terre étrangère (voir Chémote 23, 9 et Rachi sur 22, 20).

Les termes Gery et Gerami sont employés en russe pour les Subbotniks, une frange de chrétiens sabbatariens ayant finalement adopté tous les aspects du judaïsme.

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