Cette semaine a encore été marquée en Israël par un mardi noir !
A Petah Tikva, Jérusalem et Yaffo, les fanatiques islamistes palestiniens ont agressé et tué.
Dans la même journée, la folie meurtrière a entraîné la mort d’un jeune Américain de 29 ans et a
fait 13 blessés.
Une fois encore, un silence assourdissant, peu de condamnations de ces actes sauvages.
Sur les réseaux sociaux, les images de l’agresseur de Yaffo ont circulé. On y voit l’assassin
poursuivre sa course le long du bord de mer, attaquer des passants avec haine, avant d’être arrêté
et neutralisé par les forces de sécurité.
Cette information et ces images n’ont pas été diffusées par les médias.
Le silence autour de ces actes criminels doit nous inquiéter.
S’agit-il d’un désintérêt pour ce qui se passe en Israël, ou plus grave encore, s’agit-il d’une peur de
montrer des images qui heurteraient certains mais qui en flatteraient d’autres ?
Je préfère ne pas répondre ! Dans le climat actuel, je crains le pire !
Depuis trop longtemps, les populistes de gauche, les bien-pensants et une certaine presse
gangrenée par une idéologie anti sioniste, ont pris le parti des terroristes palestiniens. Elle
s’empresse de faire une distinction entre ceux qui commettent des attentats partout sur la planète
et qu’elle désigne comme terroristes et les assassins palestiniens qu’elle glorifie du nom de
militants ou même du titre de résistants. L’extrême gauche française ayant pris fait et cause pour
les assassins. Pas un mot sur les scènes de liesse à Gaza ni sur la réaction lamentable de
l’autorité palestinienne.
Ces silences sont inquiétants et augurent des temps difficiles. Tant que sera faite la distinction
entre les différents terroristes, les apprentis-terroristes de nos banlieues trouveront l’essence de
leur radicalisation.
Il est encore temps de stopper cette spirale de la violence. Pour cela il faut dire les choses, les
nommer, les décrire et appeler avec force à une union sacrée contre ceux qui en Israël, en France,
en Égypte, en Tunisie et partout sur la planète sèment la mort ainsi que contre ceux qui les
financent, que ce soit l’Arabie Saoudite ou le Qatar.
GIL TAIEB