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Obama donne 500.000$ à J-Street pour mettre en danger « innocemment » Israël… QUI ACCEPTE

Pour Jstreet l’argent n’a vraiment pas d’odeur,  même à lacher Israël du moment qu’on se remplit la panse …..

Un groupe lié aux efforts de la Maison Blanche visant à promouvoir l’accord nucléaire iranien signé en juillet dernier, a versé au goupe J-Street, qui se présente comme « pro-Israël et pro-paix », plus d’un demi-million de dollars pour qu’il plaide en faveur du traité, selon un rapport de l’agence Associated Press.

Le Fonds Ploughshares, dont la mission est de « construire un monde sûr et sécurisé en développant et en investissant des initiatives visant à réduire les arsenaux nucléaires du monde », a également versé l’an dernier des fonds à la National Public Radio, ainsi qu’à des journalistes et d’autres organes de presse, pour la rédaction d’articles concernant l’accord et des sujets qui y sont liés.

Ces allégations ont été révélées dans une interview accordée au New York Times Magazine par Ben Rhodes, un des principaux collaborateurs du président Barack Obama dans le domaine de la politique étrangère.

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Rhodes a expliqué comment l’administration a travaillé avec des organisations non gouvernementales, des experts en prolifération et même des journalistes « amis » pour renforcer le soutien à l’accord censé réduire l’activité nucléaire de l’Iran en échange d’une levée des sanctions financières internationales contre Téhéran.

« Nous avons créé une chambre de résonnance », a déclaré Rhodes, qui a ajouté que « des groupes extérieurs comme Ploughshares » ont aidé à porter efficacement le message de l’administration Obama.

« Ils ont affirmé des choses qui ont validé ce que nous leur avions dit de dire », a-t-il déclaré au Times.

Le Fonds Ploughshares ainsi versé 576.500 dollars au groupe libéral d’action politique juif, J-Street pour que celui-ci relaie le message de la Maison Blanche.

J-Street a ainsi entrepris l’année dernière une vaste campagne pour soutenir l’accord nucléaire, en dépit des pressions de Jérusalem et d’autres groupes pro-israéliens visant à convaincre le Congrès de s’opposer au traité.

Avant la conclusion de l’accord, J-Street a notamment lancé un site internet visant à lutter contre ce qu’il a appelé « la désinformation sur les négociations nucléaires et sur les mesures supposés de l’accord ».

J-Street y a notamment publié une vidéo réfutant les huit arguments les plus utilisés par les opposants à l’accord, notamment ceux concernant l’inspection et la mise en conformité des installations nucléaires iraniennes, la recherche et le développement, et la durée de l’accord.

Par ailleurs, à la veille du vote crucial du Congrès pour la ratification de l’accord en juillet 2015, J-Street a payé page de publicité dans le New York Times, exhortant le Congrès à ne pas « saboter » l’accord nucléaire iranien.

WALTHAM, MA - FEBRUARY 25: Washington, D.C.-based J Street executive director Jeremy Ben-Ami speaks to Brandeis University students on Thursday, Feb. 25, 2010. (Photo by Pat Greenhouse/The Boston Globe via Getty Images)
Jeremy Ben-Ami President of J-street (Photo by Pat Greenhouse/The Boston Globe via Getty Images)

« Cet accord montre que l’intérêt sécuritaire des États-Unis, en s’assurant que l’Iran n’ait pas l’arme nucléaire, peut être garanti par la voie diplomatique et sans utiliser la force militaire », avait déclaré à l’époque le président de J Street Jeremy Ben-Ami.

« Cet accord permet aux Etats-Unis, à Israël et au monde entier d’être plus sûrs, et il serait hautement irresponsable de la part Congrès de le rejeter », avait-il ajouté.

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