Albert Chennouf-Meyer, le père d’un des militaires tué par l’islamiste Mohammed Merah, a écrit au recteur de la mosquée de Paris.
Nous publions cette lettre :
Monsieur le Recteur,
On s’est rencontré à Paris à plusieurs reprises, je suis le père du Caporal/chef Abel Chennouf, assassiné par un des vôtres, ce NAZISLAMISTE Mohamed Merah.
Jusqu’à ce jour, j’ai cru en votre ouverture d’esprit mais aujourd’hui je déchante.
Vous êtes le même NAZISLAMISTE et un ennemi de mon pays, la France.
Vous disiez aujourd’hui au Bourget, «Celui qui ne défend pas la dignité du Prophète n’a aucune dignité».
Quel Dignité? Celle qui consiste à tuer des enfants parce que juifs?
Celle qui consiste à tuer des soldats parce qu’ils représentent la République française?
Celle qui consiste à tuer des innocents parce que non musulmans?
Aviez-vous seulement une dignité?
Et bien votre dignité n’a d’égal que celle de ceux qui assassinent de jeunes étudiants après avoir dissocié le musulman du chrétien.
Vous êtes un NAZI, un traitre à la maison, la nation française.
Vous ne serez jamais chez vous en France.
Non, je ne respecte pas votre prophète, cet assassin, cet obscurantiste qui tue encore 8 siècles après sa mort.
Dégagez, rentrez en Arabie Séoudite ou au Qatar, les pays les plus grands producteurs de terroristes au monde.
Dégagez et on en a marre de votre double discours.
La France arrivera à bout des NAZISLAMITES que vous représentez, c’est une question de temps.
Aviez-vous de la dignité? Le lendemain de la mort de 150 étudiants chrétiens au Kenyan, vous faites cette déclaration, sans oublier que la veille, vous aviez demandé le doublement des constructions de mosquées en France. Jamais.
Vive la République.
Vive le peuple de France judéo-chrétien.
Vive la France.
Albert Chennouf-Meyer est l’auteur de « Abel, mon fils, ma bataille* »
Nous publions cette lettre :
Monsieur le Recteur,
On s’est rencontré à Paris à plusieurs reprises, je suis le père du Caporal/chef Abel Chennouf, assassiné par un des vôtres, ce NAZISLAMISTE Mohamed Merah.
Jusqu’à ce jour, j’ai cru en votre ouverture d’esprit mais aujourd’hui je déchante.
Vous êtes le même NAZISLAMISTE et un ennemi de mon pays, la France.
Vous disiez aujourd’hui au Bourget, «Celui qui ne défend pas la dignité du Prophète n’a aucune dignité».
Quel Dignité? Celle qui consiste à tuer des enfants parce que juifs?
Celle qui consiste à tuer des soldats parce qu’ils représentent la République française?
Celle qui consiste à tuer des innocents parce que non musulmans?
Aviez-vous seulement une dignité?
Et bien votre dignité n’a d’égal que celle de ceux qui assassinent de jeunes étudiants après avoir dissocié le musulman du chrétien.
Vous êtes un NAZI, un traitre à la maison, la nation française.
Vous ne serez jamais chez vous en France.
Non, je ne respecte pas votre prophète, cet assassin, cet obscurantiste qui tue encore 8 siècles après sa mort.
Dégagez, rentrez en Arabie Séoudite ou au Qatar, les pays les plus grands producteurs de terroristes au monde.
Dégagez et on en a marre de votre double discours.
La France arrivera à bout des NAZISLAMITES que vous représentez, c’est une question de temps.
Aviez-vous de la dignité? Le lendemain de la mort de 150 étudiants chrétiens au Kenyan, vous faites cette déclaration, sans oublier que la veille, vous aviez demandé le doublement des constructions de mosquées en France. Jamais.
Vive la République.
Vive le peuple de France judéo-chrétien.
Vive la France.
Albert Chennouf-Meyer est l’auteur de « Abel, mon fils, ma bataille* »