Il semble que de nombreux événements du passé et prévus dans un avenir proche, tels que le grand exercice de Hél Avir et les réunions des équipes russo-israéliennes qui se sont terminées par des accords clairs, convergent vers un tableau certain : Israël ne restera pas les bras croisés pendant que l’Iran est retranché en Syrie en général et à sa frontière nord en particulier.
Dans le cadre de ce que l’on appelle les Forces de défense israéliennes (MAMAM), des centaines (!) Ont lancé des attaques contre les efforts multiformes iraniens déployés en Syrie, dont la grande majorité n’a pas été portée à la connaissance du grand public.
D’autre part, à mesure que l’aide américaine aux rebelles diminuait, l’intervention de la Russie s’enracinait de plus en plus profondément dans le concept de direction « irremplaçable », affirmation qui avait trouvé un soutien dans une certaine mesure par Israël.
En raison de la nature de la réalité, les gardiens de la révolution s’efforcent d’établir leur emprise sur le terrain en tant que force dominante et sous la protection du parapluie de la défense russe, tout d’abord en tant que facteur de stabilisation dans les zones occupées par l’État islamique de Daesh réduit en cendre.
Il convient de noter que partout où Israël identifie une présence impérialiste devant lui, il surveille, avertisse et agisse selon les besoins.
Cependant une situation intéressante a été créée – les Gardiens de la révolution iraniens en tant qu ‘ »entrepreneurs de réhabilitation » pour le régime syrien.
Sous cette apparence (et les yeux grands ouverts d’Israël!), Un certain nombre de poignées ont été établies ces dernières années. Elles constituent désormais les bases du commandement, de la logistique, de la nourriture et du transport des gardes de la révolution sous les auspices de la Russie, mais sans la présence des forces révolutionnaires. Régime syrien.
Comme Israël l’a souligné par le passé, il a été clairement expliqué à nos amis du Kremlin que la présence des gardes de la révolution en Syrie les empêcherait tout d’abord, et même des accords ont été conclus à ce sujet (qui ne devrait pas être sous-estimé).
Il est clair qu’Israël a l’intention d’agir pour éliminer ces métastases avant qu’elles ne deviennent des cultures à la frontière nord et est orientales, à tout prix.