Une nouvelle victime de cette religion « de paix et de tolérance » a été décapitée par les barbares du Califat. Bien entendu, les télévisions françaises et européennes se sont précipitées pour dénoncer tout amalgame entre Islam et ces sanguinaires barbares. Des imams sont venus expliquer que ce n’était pas conforme avec la religion musulmane et qu’il n’y a aucun rapport entre l’islam et ces actes de terrorisme.
Pourtant force et de constater que si tous les musulmans ne sont pas (encore) des terroristes, tous les terroristes sont (déjà) des musulmans.
Lorsque les Ouigours assassinent en Chine c’est au nom de l’islam. Lorsque des indonésiens commettent des attentats contre des« infidèles » à Bali, c’est au nom de l’Islam. Quand des Tchétchènes placent des engins explosifs dans une course aux Etats-Unis, c’est au nom de l’Islam. Quand des bombes tuent à Paris ou à Madrid, c’est au nom de l’Islam. Quand des enfants sont assassinés à Toulouse ou des visiteurs de musée tués à Bruxelles, c’est encore au nom de l’Islam. Quand des statues de Bouddha sont bombardées en Afghanistan et des populations soumises à l’esclavage par les Talibans, c’est encore au nom de l’Islam. Les chrétiens massacrés en Irak, les yazidis soumis à l’extermination par les sunnites du Califat, toujours au nom de l’Islam. Les coptes en Egypte victimes de crimes et leurs églises incendiées, toujours au nom de l’Islam. Les pauvres filles chrétiennes kidnappées au Mali et dont le monde se désintéresse désormais, toujours au nom de l’Islam du Boko Haram. Quant au meurtre de Juifs sur notre terre d’Israël depuis plus d’un siècle, par le mufti nazi ou les terroristes actuels de Fatah et du Hamas, toujours au nom de l’Islam. L’Iran est passé du côté obscur en plaçant ses ayatollahs à sa tête et en cherchant à acquérir la puissance nucléaire pour l’ultime rencontre avec le Grand Satan et Israël. La Turquie sous le règne musulman d’Erdogan est devenue un soutien aux terroristes et au combat contre Israël au nom de l’Islam.
Le point commun dans toutes ces régions du vaste monde où se déroulent attentats, guerres, émeutes est l’Islam.
Remarquons au passage qu’il y avait moins de manifestants musulmans à Paris, même à la sortie de leur prière du vendredi, contre le crime abominable en Irak qu’il n’y a eu de musulmans dans la manifestation pro Hamas et antisémite. Remarquons également qu’il n’y pas eu de tels rassemblements d’indignation chez les musulmans après Toulouse ou Bruxelles.
Leur « prophète » leur a enseigné qu’il n’y avait pas de paix possibles avec l’infidèle et que seule existait la « houdna », la trêve qui permettait de reprendre des forces pour attaquer. Le chemin de leur « prophète » est marqué par les guerres et l’extermination de ceux qui ne voulaient pas se soumettre en particulier les tribus juives d’Arabie. Il faut croire que les ignares qui appellent au respect du « livre sacré » ne l’ont jamais lu et n’ont pas vu que le Coran est truffé d’appels au meurtre contre les chrétiens et surtout contre les Juifs. Et ce n’était pas alors un problème de territoires !
Ceux qui ont soutenu l’intifada en Israël contre le peuple juif devaient s’attendre à la voir surgir en France. Ceux qui soutiennent le Hamas devaient savoir que ce sont devant leurs magasins qu’il faudra ouvrir et fouiller des sacs et imposer un plan antiterroriste !
« Les capitalistes sont prêts à vendre la corde avec laquelle ils seront pendus » disait Lénine. Vérité première concernant les occidentaux mais pas pour les armes. Ils les donnent au prochain ennemi, aujourd’hui au chiite contre le sunnite et demain ces armes se retourneront contre eux.
Comme l’affirme enfin nombre de commentateurs lucides. Il n’y a pas l’islam djihadiste, l’islam salafistea, l’islam radical. Il n’y a que simplement l’Islam.
En terre d’Islam, on décapite. En Occident, on perd la tête.
Jacques KUPFER