— L’Etat hébreu s’enorgueillit de ses 500 entreprises dans le secteur de la cybersécurité. Un Nétanyahou en campagne vient rappeler la volonté du pays de compter parmi les «leaders mondiaux».
Le «modèle israélien» tourne à plein, caractérisé par une très forte proximité entre Etat, universités et entreprises, mais aussi par la manière dont le renseignement militaire nourrit le secteur privé. On ne compte plus les vétérans de 8200 à la tête d’entreprises reconnues, tel le vaisseau amiral Check Point, ou de start-up (mais aussi d’officines aux activités plus sulfureuses, comme NSO, spécialiste des logiciels espions), au point que la fameuse unité militaire est devenue une marque.
L’Iran, ennemi principal
Le tout nourrit une «cyberdiplomatie» fort active : l’édition 2019 de la Cyber Week a accueilli des représentants de ministères américains, comme le secrétaire adjoint à l’Energie, Dan Brouillette, la maire de Washington, Muriel Bowser, ou encore une délégation française emmenée par l’ambassadeur pour le numérique, Henri Verdier.
La suite sur Israelvalley
Par