La banque d’Israël a commandé un rapport en 2012, (peu avant le départ de l’ancien gouverneur Stanley Fisher), sur l’impact du boycott d’Israël sur l’économie du pays. Les conclusions de ce rapport jamais publié indiquent que les conséquences sont de l’ordre de 7 à 10% de perte sur le PIB, soit entre 7 et 10 milliards de shekels par an et que la blessure pourrait être plus sévère dans un cas de scénario extrême.