haut banniere

Antisémitisme : Le fonctionnaire antisémite de l’U.E., admirateur de Mussolini, a déjà été condamné pour pédophilie

Diverses forces influencent la Commission européenne. Parmi celles-ci, Génération 2004 – un syndicat ayant gagné le plus de sièges dans l’élection au sein du personnel de Bruxelles – et à sa tête, un certain Stefane Grech, Maltais ayant le bras assez long et adorateur de Mussolini… C’est ce qui ressort de divers articles de presse qui, suite à une plainte de la Ligue Belge Contre l’Antisémitisme (LBCA), relatent ses « faits d’armes ».

Le soir du jeudi 16 juillet 2015, lors de la beuverie hebdomadaire organisée pour les eurocrates dans les établissements jouxtant le « Caprice des dieux », l’individu s’approche d’une collègue italienne, muni d’une pancarte métallique portant le nom du Duce (à ne pas confondre avec le « doux Che…Guevara », aussi criminel mais plus politiquement correct dans le chef d’un syndicaliste), tout en tenant des propos relatifs à la (soi-disant) persécution des (dits) « Palestiniens » en Israël.

Stefane Grech
Stefane Grech

Celle-ci lui fait remarquer que « Mussolini était quand même un dictateur ». L’individu se tourne alors vers elle et la traite de « sale Juive »

Sans perdre son sang-froid, elle répond « Je pourrais être Juive ! » (elle ne l’est pas).

Sans doute inspiré par les méthodes de ses amis terroristes (dont il relaye la propagande à longueur de ses pages Facebook), le quidam se précipite alors sur elle, la frappe de sa pancarte et essaye de l’étrangler, tout en éructant – entre autres – que « Hitler aurait dû tuer tous les Juifs ».

Il la bourre aussi de coups, entraînant un traumatisme crânien, une commotion cérébrale et des conséquences neurologiques et psychologiques.

La victime, pourtant, ne peut être soupçonnée de sympathie débordante pour Israël : il s’agit de Raffaella Iodica, de la D.G. NEAR, cheffe d’unité sud-Moyen-Orient… le département chargé de financer les projets de la dite « Autorité » dite « palestinienne ».

Priée d’expliquer l’inaction de la Commission européenne devant cette agression inacceptable, sa vice-présidente des Ressources humaines, Kristalina Georgieva, insiste sur la « présomption d’innocence ». En attendant « les conclusions de l’enquête interne et celles de la justice belge », l’intéressé vient donc d’être « suspendu »… c’est-à-dire qu’il peut rester chez lui, en touchant toujours son salaire qui s’élève à la modique somme de quelque 7.000 € (Vous avez bien lu : sept mille Euros) mensuels.

Cette « mesure de précaution » a été confirmée ce vendredi par le Comité de discipline alors que, entretemps, on a appris que le Sieur Grech avait été condamné, à Malte en 2002, à six mois de prison (avec sursis) pour « prise de clichés et confection de vidéos, détention et distribution de matériel pédopornographique, mettant en scène des enfants de moins de neuf ans ».

La peine semble bien légère mais avait été atténuée par le fait que, fin renard, Stefane Grech s’était soumis à un traitement psychiatrique « pour se soigner » avant l’énoncé de la sentence… enfin, ça c’est l’explication officielle car il se fait que son frère (Claudio Grech), lui-même impliqué dans diverses affaires louches ( lire ici Claudio Grech en charge de la campagne de Austin Gatts et A propos de Claudio Grech), se trouve être une des plus hautes personnalités politiques maltaises du Parti Nationaliste…

Quand on sait que, avant de siéger au « Comité du personnel », Stefane Grech a été employé à la D.G. TREN (Commerce international) alors que son frérot était « Chef de Cabinet du ministre (maltais) responsable pour les Investissements, la Technologies de l’information et de la communication, l’Infrastructure et les investissements publiques », on peut d’ailleurs se demander si « l’égalité des chances » dans la procédure d’engagement a bien été respectée !

Ceci pourrait aussi expliquer que le « certificat de bonne vie et mœurs », exigé des nouveaux fonctionnaires européens, n’ait pas été demandé à Stefane Grech ou qu’il a remis un faux manifeste… à moins, comme on me l’a expliqué, que soit la police belge, soit la police suisse, n’ait pas fait leur travail en vérifiant le casier judiciaire de l’intéressé auprès des autorités maltaises (en effet, ce document peut être demandé soit au pays d’origine, soit au pays de résidence… à charge pour les autorités de ce dernier de vérifier le casier du pays d’origine).

Il est quand même étrange que l’IATA, où le Maltais a travaillé comme « Administrateur » pendant un an (de juin 2004 à juin 2005, à Genève), ne se soit pas inquiétée, elle non plus, de l’honorabilité de ses cadres !

Si on peut à l’extrême rigueur « présumer innocent de coups et blessures, d’apologie du nazisme et d’antisémitisme » le leader syndical (commettant par ailleurs des articles dans le site Web iNews du « General Workers union), une condamnation judiciaire qui n’aurait pas été signalée à l’engagement entraîne ipso factol’annulation immédiate de celui-ci. Pourquoi donc Stefane Grech n’est-il toujours que « suspendu » (avec salaire) ?

Gageons que la Commission européenne, forcée de réagir suite à la plainte de la LBCA et de la publication de l’affaire dans les médias, mise sur l’oubli de l’affaire (Avec les pressions ad hoc, « les conclusions de l’enquête interne et celles de la justice belge » peuvent mettre très-très longtemps à voir le jour !) car, le Parti Nationaliste maltais étant un de deux partis qui gouvernent à tour de rôle cette île, « ne serait-il pas stupide de se mettre à dos un de ses ministrables ? Quelle drôle d’idée, d’ailleurs, que de déclarer « Je pourrais être Juive » dans une Europe où les gauchistes-nazislamistes font désormais la loi ! »

Voici (re)venir l’orage ! Nous faudra-t-il, comme le firent les Partisans italiens le 28 avril 1945, sortir nos crocs de bouchers pour – en guise de paratonnerre – contrer la menace ?

© Yéh’ezkel Ben Avraham pour Europe Israël News

About The Author

Related posts

Leave a Reply

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *