La semaine aura été suicidaire. La présidente d’un parti politique familial et patriote a reproché au père fondateur de celui-ci de s’être suicidé. Au lieu du mal de vivre, il semblerait que celui-ci souffre plutôt de vouloir vivre du mal. Si suicide national il y a, il est tout entier incarné dans le fait que les ineptes déclarations proférées dans une feuille que personne ne lit puissent encore enflammer une France menacée du péril islamiste, dès l’instant où le mot « chambre à gaz » est jeté sur la flamme.
Pendant ce temps, Libération, se plaint de la tolérance française… à l’égard du racisme et de la xénophobie. La preuve : 7 personnes sur 10 estiment qu’il y a trop d’immigrés !
Le plus grand crime contre la liberté commis depuis 40 ans habite ici : après avoir tenté de convaincre que tout anticommuniste était un chien, on a voulu persuader tout un peuple que la critique d’une immigration excessive était consubstantiellement xénophobe. Qui veut noyer son chien l’accuse de racisme. Ou le pousse au suicide.
Trois mois après la saignée de janvier, certains ont voulu organiser une nouvelle manifestation dans la capitale pour que survive « l’esprit Charlie » contre le terrorisme.
Pendant ce temps, la justice française, toujours bonne fille envers l’extrême gauche, relaxait à nouveau l’organisateur des manifestations interdites pour Gaza. Le Monde s’est surpassé pour rapporter la nouvelle : le relaxé avait fait l’objet d’une précédente condamnation avec sursis pour avoir maintenu une manifestation interdite en faveur « du militant » Georges Ibrahim Abdallah.
Ce simple « militant » purge sa peine dans une prison française pour avoir aidé à l’assassinat de deux hommes…
