Dans un dernier Rapport, Amnesty International affirme que le Hamas a commis des crimes de guerre durant l’Opération Tsuk Eitan en été 2014. Concernant les tirs de roquettes, l’organisation note que ces tirs ne distinguaient pas les cibles militaires et civiles et constituent donc une violation du Droit international et des conventions humanitaires.
Mais surtout, le Rapport recense d’autres crimes commis par l’organisation terroriste, comme le fait d’avoir tiré depuis des zones habitées et d’avoir placé des arsenaux et des munitions dans des zones peuplées de civils ainsi que des écoles, hôptaux et mosquées. Amnesty dénonce ainsi l’utilisation de civils comme bouclier humains ce qu’Israël a toujours affirmé.
Source: nrg.co.il – Photo Ahmad Khateib / Flash 90