Cette situation complexe illustre les tensions entre le droit international, la politique nationale et les relations diplomatiques. La France, en indiquant que Benjamin Netanyahu bénéficie d’une immunité en vertu du droit international, soulève des questions sur l’application des lois internationales et les engagements des États signataires du Statut de Rome.
Les réactions de la gauche française, qui dénoncent cette position jugée comme une forme d’impunité, mettent en lumière des préoccupations plus larges concernant les droits humains et la justice internationale. La critique de Marine Tondelier et d’autres représentants de la gauche témoigne d’une inquiétude quant à la perception et à l’application de la justice, en particulier dans le contexte du conflit israélo-palestinien.
« Une honte », a dénoncé la cheffe des Écologistes, Marine Tondelier, sur X.
« N’est-ce pas plutôt une +impunité+ ? », s’est de son côté interrogé le coordinateur de la France insoumise (gauche radicale) Manuel Bompard sur le réseau social.
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Alain SAYADA pour Israel Actualités