L’Iran devrait attaquer Israël mardi soir avec environ 400 missiles, dans le but de toucher les bases de l’armée de l’air, les systèmes de défense aérienne et les industries de défense de la région de Haïfa – selon le Dr Perezin Nadimi, chercheur principal à l’Université de Washington. Selon lui, le moment choisi pour l’attaque visait à éclipser l’annonce du vainqueur des élections américaines. Selon l’expert, l’Iran activera les missiles les plus avancés en sa possession. Parmi eux figurent les missiles Khuramshahr-4 (un missile balistique d’une portée d’environ 2 000 km), le Fatah (un missile hypersonique développé pour vaincre les systèmes de défense aérienne), le Khyberashkan (un missile balistique à moyenne portée) et l’Emad (un missile balistique de précision). Les missiles balistiques en Irak, selon Nadimi, sont dus au fait que les missiles iraniens ne sont pas assez précis pour les longues portées et qu’il est donc nécessaire de les lancer à partir d’une portée plus courte, d’Irak et de Syrie – en utilisant des missiles éprouvés tels que Zulfagar (un missile balistique à courte portée avec une précision améliorée
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