Nous avons eu droit ces dernières semaines à un florilège de déclarations concernant ces jeunes adolescents qui ont tagué une étoile de david sur la mosquée d’un village arabe et ont crevé quelques pneus. Nos « intellectuels », nos « élites » et nos medias se sont précipité avec moult photos sur ces méfaits. Ils ont interrogé avec véhémence nos services de police et de renseignements sur la raison pour laquelle ces jeunes (que tout le monde connait puisqu’ils portent une kippa et vivent sur les « collines » de Judée !) n’ont pas encore été arrêtés. Ce sont des terroristes ont décrété les journalistes. Il s’agirait donc de terroristes qui doivent être poursuivis et châtiés comme il se doit. Ce sont même des « hébreux néonazis » selon un écrivain « hébreu néomasochiste ».
J’eusse aimé que les terroristes arabes n’agissent que par l’intermédiaire de bombes à peinture et que leurs couteaux ne servent qu’à lacérer quelques pneus.
Dans cette période où la presse s’acharnait à trouver des « terroristes juifs », des dizaines de voitures israéliennes étaient la cible des lanceurs de pierres non pour dégrader un bien matériel mais pour tuer. Des dizaines de bouteilles incendiaires étaient lancées sur nos véhicules. Une jeune fille d’Afoula était sauvagement assassinée par des arabes. Des arrestations demandent ces parangons de la vertu démocratique alors qu’ils ont assisté impassibles à la libération de centaines d’assassins arabes.
Cette stupéfiante capacité d’auto culpabilisation permet d’établir une politique discriminatoire contre Israël. Mahmoud Abbas se déclare le successeur du mufti Hadj Amin El Husseini, criminel nazi, mais reste « persona grata » auprès des chancelleries occidentales. Kerry lui donne de chaleureuses accolades. Après tout si cette lamentable Tsipi Livni lui tombe dans les bras, pourquoi pas les responsables occidentaux ?
Quand Abbas déclare « urbi et orbi » ne pas vouloir un seul Juif sur le territoire qu’il entend dérober à la souveraineté juive, cela ne provoque aucune réaction indignée dans nos medias et ne lui donne pas le droit d’être appelé nazi par quelque écrivain célèbre !
Ce négationniste terroriste à la tête de cette fiction « palestinienne » reste selon la formule imposée un « partenaire et un interlocuteur » valable !
Il a donc le droit de se promener dans les palaces mondiaux et les perrons des grandes chancelleries malgré ses expressions nazies de faire de la Judée une terre « Judenrein ».
Donc, en refusant toute présence juive en Judée, en s’affirmant comme le successeur du Mufti nazi, en refusant de reconnaitre le caractère juif de l’Etat d’Israël, en retirant son masque par son alliance désormais officielle avec le Hamas, en glorifiant les terroristes arabes, en enseignant la haine dans les écoles, Abbas reste un personnage fréquentable. Mais qu’en serait-il si nous appliquions (enfin) une politique que les arabes comprendraient et qui semble bien correspondre aux normes éthiques de l’Occident.
Il est temps de faire un constat que la raison et l’expérience nous imposent. Le fait de ne pas vouloir vivre aux côtés d’un ennemi, de ne pas vouloir un état binational impose une solution. Il n’y a rien à négocier ni avec qui négocier.
Notre qualité de propriétaire légitime, légal et historique de la Terre d’Israël est incompatible avec la présence des squatters arabes. Abbas sait et affirme que nous ne pourrons jamais cohabiter. La présence de ces islamistes est incompatible avec un climat pacifique. La seule différence entre Hamas et OLP, entre Hanyeh et Abbas est que l’un porte une cravate et l’autre pas.
Il parait naturel que tous les pays arabes aient expulsé Italiens, Espagnols, Français et Juifs de leur état « décolonisé » avant d’envahir leur anciennes métropoles ! Les arabes ont pu expulser plus de huit cent mille Juifs et confisquer des biens considérables. En vertu de quel principe inique, les Juifs n’auraient pas le droit de renvoyer dans les pays arabes tous les squatters venus profiter des bienfaits sionistes. Si le monde et la gauche ont applaudi à l’expulsion des pionniers juifs du Gouch Katif et accepté l’idée d’un échange de population. J’entends déjà les cris horrifiés des nos « bienpensants » et pourtant il n’existe pas d’autre solution.
Toutes les tentatives les plus suicidaires des Peres, Barak, Olmert et compagnie se sont avérées inadéquates.
Que ce soit avant ou après la prochaine et inévitable confrontation armée, que ce soit avant ou après qu’Obama soit devenu officiellement le secrétaire de la Ligue arabe, que ce soit avant ou après la millième condamnation de l’Onu, il ne restera qu’une seule et unique solution.
Elle s’impose avec le respect de l’Histoire, de la légitimité, du Droit et de la sécurité.
Il faudra rétablir la souveraineté juive sur toute la Terre d’Israël libérée par le sacrifice suprême de nos combattants. Il faudra retirer la nationalité israélienne aux arabes qui n’ayant pas les mêmes devoirs ne peuvent avoir le mêmes droits que les citoyens juifs. Il faudra établir un statut de résident garantissant les droits élémentaires que la Charia et la dhimmitude ne garantissent pas en terre d’islam.
C’est ce terrorisme intellectuel qui a créé un réflexe de Pavlov auprès de tous les israéliens qui se croient obligés de rajouter le terme démocratique quand ils parlent d’un Etat Juif comme si on pouvait en douter ! C’est ce terrorisme intellectuel qui nie le caractère intrinsèquement et définitivement religieux du conflit qui n’est pas territorial avec un islam « de paix et de tolérance » (où et quand ?).
Retirer le micro aux terroristes « intellectuels » et rendre la parole au peuple.
Fasciste, raciste, apartheid….. Non. Seulement réaliste et sioniste.