En ce matin particulier, au lendemain de Noël et du premier jour de Hannouca, j’aimerais vous
souhaiter à tous Hag Sameah et de bonnes fêtes à tous nos amis chrétiens.
J’ai une pensée particulière pour ceux d’orient qui, une fois encore, vont vivre ce moment dans la
crainte d’une attaque sauvage des islamistes de Daesh et de leurs complices.
Force est de constater que leur sort n’intéresse personne et que plutôt que de tirer les leçons du
passé, les nations et leurs dirigeants n’ont de cesse de baisser la tête et de collaborer. J’en veux
pour preuve, cette semaine encore, la énième votation du conseil de sécurité des Nations unies.
Cet organisme, sensé trouver les chemins de la cohésion et de la paix, a une fois encore choisi le
chemin de l’indignité. Il a même osé franchir un pas de plus. Pour la première fois, l’allié américain
a non seulement refusé de mettre son veto mais a même été à l’origine du dépôt de la motion anti
israélienne. Le président des États-Unis a transformé cette instance internationale en cour de
récréation dans laquelle il s’est attribué le titre de »chef de bande » !
Barack Obama, puisqu’il s’agit de lui, n’ayant pas digéré la défaite de son camp aux dernières
élections, a révélé son véritable visage.
Celui d&’un être minable et frustré dont le masque est tombé.
Il était arrivé au pouvoir porté par l’espoir de tout un peuple et même d'un très grand nombre à
travers le monde, et en repart après un échec total.
Alors qu’il avait reçu le Prix Nobel dès son élection, Il quittera le pouvoir dans quelques jours, en
méritant le prix de la honte, de l’échec et de la trahison.
À l’ONU, il a tiré ses dernières cartouches. Elles auraient dû abattre les tyrans islamiques. Lui, a
choisi de les diriger contre la seule démocratie de la région.
Le vote de l’ONU est une insulte à l’Histoire des peuples.
En cette période magique de Noël et de Hannouca, gardons l’espoir et rangeons cette votation
avec toutes les autres, dans la poubelle de l’Histoire.
Racontons à nos enfants, dont les yeux brillent devant les bougies de Hannouca ou le sapin de
Noël, la véritable histoire.
Et surtout, si vous croisez Jésus de Nazareth, ne lui dites pas qu’il est un colon, ne lui dites pas
que ce sont des falsificateurs de l’histoire qui occupent sa ville natale.
Il aurait trop de peine !
Lui sait qu’il est en Judée et il cherche sûrement où allumer les bougies de Hannouca !
Dites lui plutôt que le peuple juif est toujours là, qu’il garde la Maison ouverte à tous, tolérante,
exemplaire dans les domaines de recherche, de technologies, de sécurité, accueillante pour les
blessés d’où qu’ils viennent y compris de Syrie, et qu’il fait briller Jérusalem sa capitale éternelle.
Gil taieb
Des vérités plus fortes que tout leur cynusme.
Bien dit!