Après la publication de la tribune de Philippe Karsenty « Cette année encore, je n’irai pas au dîner du CRIF » qui a beaucoup circulé, les langues commencent à se délier, et les témoignages des « petites manipulations » de Roger Cukierman, son président, sont apparues au grand jour.
Inventaire :
- L’élection du futur président du CRIF devrait n’être qu’une formalité puisqu’il n’y a qu’un candidat au poste, Francis Kalifat, mais il n’est pas certain que tout se déroule comme prévu. En effet, certains envisagent de ne pas aller voter afin que le quorum se soit pas atteint.
- L’élection des vice-présidents a mis le feu aux poudres. Grâce aux membres qu’il a cooptés au début de son mandat, Roger Cukierman a imposé des vice-présidents pasvraimentreprésentatifs de la communauté juive française, c’est le moins qu’on puisse dire.
- Si la réélection du socialiste et insipide Yonathan Arfi à la vice-présidence semblait acquise en raison des mauvais calculs politiques de certains membres du comité exécutif, c’est surtout l’arrivée de Gérard Unger qui risque de décrédibiliser le CRIF.
Gérard Unger n’est autre que le président en France de JCall, une organisation marginale d’extrême gauche qui veut imposer une paix aux Israéliens sans rien demander aux Palestiniens, sur le modèle américain de l’organisation post-sioniste et juive américaine JStreet, qui agit pour le compte de Barack Hussein Obama – c’est tout dire.
La montée au CRIF de Gérard Unger risque donc d’aggraver le fossé qui sépare le CRIF de la réalité de la communauté juive qui, faut-il le rappeler, est devenue très majoritairement à droite, en France, mais aussi quand il s’agit de l’échiquier politique israélien.
Dit clairement, le CRIF vire à gauche tout en prétendant représenter (CRIF veut dire Conseil représentatif) des juifs majoritairement à droite, en France et pour Israël. Plus hypocrite tu meurs et ça ne les dérange pas d’un pouce.
Les deux grands perdants de cette manipulation made in Cukierman sont le très actif Ariel Amar et le président du B’nei Brith, Serge Dahan. Il faut le dire : ces deux candidats-là sont sépharades, ça n’arrange pas leurs affaires…
Mais ce n’est pas tout.
La censure de l’affiche du Métro pour les Chrétiens d’orient, c’était lui, Gérard Unger
Souvenez-vous : Gérard Unger est aussi le président de Métrobus, la filiale de Publicis qui, en mars 2015 avait refusé, au nom d’une laïcité dévoyée, la publicité pour un concert à l’Olympia au profit des Chrétiens d’Orient victimes du génocide de l’Etat Islamique, alors que le même président accueille bras ouverts les affiches annonçant le Ramadan…
Monseigneur Di Falco avait alors rappelé à Unger quelques vérités bien senties :
« Dire que l’on ne prend pas parti face à un génocide, c’est de la lâcheté : quand une population est massacrée de manière systématique, on prend parti. Et c’est parce qu’on n’a pas pris parti qu’il y a eu la Shoah ».
Soyons très clairs :
Le CRIF ne représentera pas les Juifs de France, et il sera hostile aux chrétiens d’Orient.
Mais qui peut bien se sentir représenté par une telle organisation !
© Hervé Roubaix POUR JSS NEWS
Et bien, si çe qui est écrit ést vrai, le Crif ést traitre aux juifs et à Israel et îl doit disparaître. Quant à çes alter-juifs de merde, style unger, qui fait du tort aux juifs et aux chretiens, qu’ils aillent se faire voir chez daesh !
Bon vent. Ils n’ont strictement rien fait pour. notre communauté. Et je les blâme pour cela.
À défendre leurs intérêts personnels, ils en ont oublié le peuple juif en souffrance en France et en ERETZ ISRAEL.
le crif ce sont des parasites qui n’aiment pas les juifs,ils ne voient que leurs propres interets
Très cher queniart,
quand vous cesserez d’aimer les tueurs de Juifs vous pourrez donner votre avis sur le CRIF.